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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 08:21

Les nouvelles technologies doivent être accueillies avec enthousiasme mais sans précipitation.

 

La sécurité alimentaire ou pharmaceutique, qui ne quitte plus la une des journaux, nous rappelle que les systèmes et process ne sont pas infaillibles, même au niveau des nations. Le Cloud est assurément l'informatique de demain, cependant gardons un œil attentif à la sécurité et à la confidentialité des données confiées à un serveur distant. La gratuité ou le coût modéré des offres en lignes sont à reconsidérer au vue d’une mise en œuvre d’une sérieuse politique de sécurité et de disponibilité. 

 

L’accessibilité également pour qui voyage et utilise régulièrement le TGV ou les avions, n'est pas toujours au rendez-vous, et avoir tous ces dossiers sur internet peut nous laisser plusieurs heures sans travail ou nous priver d’une information critique à un moment décisif. Le temps des affaires va trop vite pour être à la merci de son infrastructure.

 

Il faut des années pour construire une marque et gagner la confiance de ces clients. Rester concentré sur sa valeur ajoutée et consolider son organisation réclame beaucoup de bons sens et des solutions durables et éprouvées. 

 

Pour paraphraser l’industriel et philosophe Gaston Berger, pour diriger une entreprise, il faut à la fois savoir dans quelle direction l’on marche, les innovations nous guident, mais s’assurer de l’endroit où l’on va poser le pied pour le prochain pas, là, la précipitation n’est pas conseillée. 

 

Clip Industrie accompagne l’organisation des PME industrielles depuis plus de quinze ans. Les solutions de GPAO Clipper sont développées sur des technologies expérimentées et enrichies de façon permanente par les clients utilisateurs.

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18 janvier 2013 5 18 /01 /janvier /2013 11:37

TABLEAU DE BORD : DES INDICATEURS POUR AGIR ET NON À CONTEMPLER : http://www.manager-go.com/blog/management/des-indicateurs-pour-agir-et-non-a-contempler

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18 octobre 2012 4 18 /10 /octobre /2012 09:34

Depuis quelques mois déjà, nous prêchons la bonne parole autour de ces 3 lettres : SAE. Cette abréviation signifie Système d’Archivage Electronique. Une norme (NF Z42-013) définit le cadre de l’archivage électronique.

Mais à quoi ça sert le SAE ?

Il sert à gérer les documents papiers et numériques issus des activités de l’entreprise.

Il remplace l’archivage papier et réduit considérablement l’espace de stockage nécessaire pour ce dernier.

Il permet des accès partagés et sécurisés aux archives.

Il permet des recherches rapides d’un grand nombre d’archives (recherche d’enregistrement de traçabilité, de preuve).

Il permet de respecter un plan d’archivage en assurant les règles de destruction au-delà des délais prescrits.

 

GED, SAE, quelles différences ?

Un système de GED Un Système d’Archivage Electronique
permet la modification des documents et la production de plusieurs versions. interdit la modification des documents.
peut permettre la destruction des documents par leurs auteurs. interdit la destruction de documents en dehors d’un contrôle strict.
peut comporter la gestion de durées de conservation. comprend obligatoirement un contrôle rigoureux des durées de conservation.
peut comprendre une structure organisée de stockage, sous le contrôle des utilisateurs. comprend obligatoirement une structure rigoureuse de classement (le plan de classement), gérée et contrôlée par l’administrateur.
est à priori dédié à la gestion quotidienne des documents pour la conduite des affaires. peut faciliter les tâches quotidiennes mais est aussi destiné à la constitution d’un fonds sécurisé des documents probants de l’organisation.

 

Comparatif archive papier / archive informatique

Pour bien comprendre un aspect fondamental de l’archivage informatique, nous allons nous référer à un support que nous connaissons bien : un CDROM (650 Mo). Ce support contient en moyenne 44 boîtes d’archives de 500 pages au format A4. Cela représente :

- 22000 pages

- 3,8 mètres linéaires de boite d’archivage (1 armoire standard contient 5 à 6 mètres linéaires)

- 110kg de papier

La GPAO Clipper et SAE

 Clipper et le SAE

Le module SAE s’organise autour de deux écrans dans la GPAO Clipper. Le premier écran permet de gérer les documents en attente d’archivage. Le second est un écran de recherche utilisé pour retrouver les documents.

Espace d’attente d’archivage

Les documents en attente d’archivage proviennent de quatre sources différentes :

• A partir d’un scanner : vous scannez votre document, le scanner place le document dans un dossier. Le SAE scrute ce dossier et récupère tous les fichiers qui y sont placés.

• A partir de l’explorateur de fichiers : c’est la méthode la plus simple, on sélectionne les fichiers que l’on souhaite archivé sur le disque dur du PC.

• A partir de votre messagerie Outlook : si vous recevez un contrat signé par votre client, par exemple, cette fonctionnalité vous permettra d’archiver le mail et les pièces jointes dans le SAE.

• A partir de la GPAO Clipper : vous archivez directement vos documents commerciaux (devis, factures, etc.) depuis Clipper.

 

Recherche des documents

Img5web.png

Vous connaissez bien Clipper maintenant. Et bien vous disposez aussi d’une recherche mutli-critères évoluée pour le SAE. Vous pouvez rechercher selon les caractéristiques du document (extension, taille du fichier, titre du document) mais aussi d’après les mots clés que vous avez notés lors de l’archivage. Les mots clés sont une très grande force du SAE car c’est vous qui les définissez et vous pouvez vous baser sur des listes de Clipper (clients, employés, familles, articles, etc) mais aussi sur des champs libres ou des listes personnalisées. Vous avez une grande liberté dans le paramétrage du module.

 

Ouverture du document

Vous avez systématiquement un aperçu de la première page du document (en PDF uniquement). Et même si le document est enfermé dans un coffre-fort, vous pouvez tout de même le télécharger et l’ouvrir sur votre poste, à condition évidemment d’avoir les habilitations pour le faire (que vous avez paramétrées). Vous ne pourrez pas le modifier sur le serveur. Il est véritablement sécurisé.

Les fichiers PDF que vous envoyez au SAE peuvent être convertis si vous le souhaitez au format PDF/A (seul format utilisé par les organismes de normalisation du monde entier pour garantir la sécurité et la fiabilité de la diffusion et des échanges de documents électroniques).

Les freins à la mise en place

Le premier pas est le plus dur, mais l’essayer, c’est l’adopter. L’implémentation d’un tel module doit se faire en concertation avec les utilisateurs, car il s’agit vraiment d’un projet global. Mais tout le monde y trouve son compte, car archiver un document informatique ne prend pas plus de temps que le faire sous forme papier. C’est réellement une question d’habitude. Par contre en ce qui concerne le temps nécessaire pour retrouver un document, le SAE est largement plus rapide, surtout quand on sait que les archives ne sont pas forcément accessibles facilement.

Quand on réfléchit à la mise en place d’un tel module, on pense à tout le stock d’archive existant. Il ne faut évidemment pas commencer par là. Il faut tout d’abord commencer par les nouveaux documents à archiver. C’est la démarche la plus dynamique. L’important étant de mettre le pied à l’étrier. Il est toujours possible de scanner les anciennes archives petit à petit, en prenant le temps nécessaire, en faisant participer des stagiaires, etc…

Le coût de l’espace disque n’est plus un frein à la mise ne place d’une démarche d’archivage électronique, car le coût de stockage papier est même plus élevé aujourd’hui, si l’on prend en compte les fournitures pour le stockage, les armoires et l’espace physique.

Alors n’hésitez pas à contacter votre commercial régional pour obtenir plus d’informations concernant notre SAE.

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 09:03

CRM

Derrière cet acronyme peu engageant, se cache la clé du développement de vos affaires. Nous ne vous apprenons rien en vous disant que dans le contexte actuel, il est fondamental, aujourd’hui plus que jamais, de prendre soin de notre relation avec nos clients.

 

Pour vous accompagner dans cette démarche nous avons repensé nos outils CRM (Customer Relationship Management) ou en français GRC (Gestion des Relations avec les Clients). Nous avons orienté nos efforts pour rendre nos outils accessibles de partout. Sur vos PC, vos tablettes, vos téléphones, Clipper peut vous accompagner au bureau comme en déplacement.

 

- GPAO Clipper : votre outil bureautique.
- Plugin Outlook : la synchronisation de vos informations vers Outlook et votre téléphone.
- Mobilité : accessible depuis le navigateur de votre tablette.

 

Afin de répondre aux nouveaux défis que nous nous sommes lancés, nous avons fait évoluer nos outils de développement. Nous travaillons maintenant avec la base de données Microsoft SQL Server. En effet, Microsoft met à disposition gratuitement sa base de données sous le nom SQL Server Express. Vous bénéficiez de toute la robustesse de cette base de données et cela, gratuitement. C’est l’évolution vers ces nouvelles technologies de développement qui nous permet aussi d’intégrer parfaitement notre plugin dans la messagerie Outlook.

 

Enfin, l’application mobile est conçue en HTML de manière à être accessible sur toutes les tablettes du marché, de l’iPad, aux tablettes sous Androïd et prochainement sous Windows 8. Vous l’aurez compris, vous pouvez aussi accéder à l’application directement à partir de votre PC, même si la GPAO Clipper reste plus adapté.

 

img1.jpg

 

Les fonctionnalités de la CRM

Tout d’abord, nous avons revu la terminologie pour parler de société (prospect), de contact (interlocuteur), d’opportunité (projet) et d’événement (action). Ce changement de terme nous permet de nous mettre en conformité avec les normes lexicales concernant les logiciels de gestion.

L’application permet désormais de travailler avec des événements directement associés à une société. Il n’est plus nécessaire de passer au travers d’une opportunité. De même, un contact peut-être associé à plusieurs sociétés.

 

Toutes les listes de l’application sont modifiables il n’existe plus de liste pré-remplie qui ne soit pas adaptables en fonction de vos besoins. Cela va de listes de bases, comme les civilités, jusqu’aux pays, région, départements, villes, processus de ventes, etc. Vous avez maintenant aussi la possibilité de créer autant de champ utilisateur que vous le souhaitez Ces champs utilisateurs peuvent avoir un type classique (chaîne de caractère, nombre) ou vous pouvez créer une liste personnalisée avec les valeurs que vous aurez choisies, ou encore une liste basée sur les champs des GPAO Clipper (clients, fournisseurs, employés, familles, etc.).

Contrairement au précédent module prospect, nous accédons aux informations par une liste. Il est possible de créer des requêtes personnalisées pour accéder à des listes spécifiques. Vous pouvez par exemple, définir une requête listant vos prospects « chauds », vos clients à risque, et rappeler la requête en un clic. La priorité a été mise sur la rapidité d’accès à l’information. Vous accédez ensuite à la fiche, mais tout en gardant la liste affichée sur le côté. Ceci vous permet une navigation rapide entre les fiches.

 

Img2.png

 

Intégration de la CRM dans Outlook

Le plugin est intégré dans Outlook 2010 et vous permet d’accéder aux fonctionnalités suivantes : Synchronisation de vos contacts, vos événements, vos tâches. Outlook est donc toujours à jour par rapport à vos données professionnelles. Vous pouvez les synchroniser sur votre téléphone, et ainsi avoir accès n’importe où, en mode connecté ou déconnecté (sans liaison avec votre serveur) à toutes vos données CRM. Vous pouvez faire des mises à jour sur votre téléphone ou sur Outlook et lors de la synchronisation, ces modifications sont reportées sur le serveur. Création d’événement Vous recevez ou envoyez un mail important, et vous voulez une trace dans les événements de la CRM. Vous n’avez plus à tout réécrire dans la CRM, vous pouvez transformer ce mail en événement et ainsi le mail ainsi que ces pièces jointes sont intégrés à la CRM.

 

Mobilité et tablettes

Les tablettes entrent petit à petit dans les foyers, mais aussi dans les entreprises. La GPAO Clipper vous permet d’accéder aux informations de la CRM sur vos tablettes. Vous pouvez consulter, créer ou modifier des sociétés, des contacts, des opportunités ou des événements depuis votre tablette. La compatibilité est assurée avec la plupart des tablettes du marché (iPad, Androïd, Microsoft).

Pour en savoir plus

Evidemment toutes ces nouveautés sont parfaitement intégrées dans la GPAO Clipper 6.0, les bases de données communiquent sans aucune ressaisie de votre part. Un grand nombre d’autres nouveautés vous attendent concernant la CRM.

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20 juin 2012 3 20 /06 /juin /2012 08:51

Que signifie SAE ?  Système d’Archivage Electronique
 

Quelle est son utilité ? 

- Gére les documents papiers et numériques issus des activités de l’entreprise. 

- Remplace l’archivage papier, d'ou une réduction considérable de l’espace de stockage nécessaire pour ce dernier.

- Distribue des accès partagés et sécurisés aux archives.

- Autorise des recherches rapides d’un grand nombre d’archives (recherche d’enregistrement de traçabilité, de preuve)

- Respecte un plan d’archivage en assurant les règles de destruction au-delà des délais prescrits

- Restitue les fichiers dans le format d’origine

Quelle est la différence par rapport à une GED (GEIDE) ? 

Une GED a pour objet la gestion des documents vivants de l’entreprise, en permettant de faire des références externes et en assurant les flux de validation et les évolutions des versions, des indices.

- Le SAE n’intègre pas de Workflow de validation (pas nécessaire)

- Le SAE ne gère pas les indices et évolutions documentaires

- Le SAE ne permet pas de faire des références externes (lien d’un document vers un autre enregistrement)

- Le SAE ne permet pas de gérer des listes de diffusion

SAE répond à quels enjeux pour l’entreprise ?

- Economiques : en maîtrisant les processus de tri et de destruction des archives

- Organisationnels : en rationnalisant les flux d’archives entrants, multi-sources et multi-formats

- Réglementaires : en étant conforme avec le cadre normatif ou législatif relatif à leur activité et leurs fonds documentaires

- Technologiques : en anticipant les évolutions des systèmes d’information.

Quel volume représentent les archives ?

650 Mo (1 CDRom) d’espace disque contiennent : 

- 44 boîtes d'archives de 500 pages A4 (documents au format Word, Excel, Tiff de ± 30 Ko tels que factures, courriers, devis...)

soit au total  :

- 22.000 pages dans 1 seul CD

- 3,8 mètres linéaires de boite d’archivage

- 110 kg de papier 

Info : 1 armoire de bureau standard contient l'équivalent de 5 à 6 mètres linéaires.

 

Ou encore : http://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_d'archivage_%C3%A9lectronique

 

 

 

 

 

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12 juin 2012 2 12 /06 /juin /2012 08:21

La sécurité sur Internet complique son utilisation, mais tout comme vous avez pris l'habitude de fermer votre voiture ou votre maison durant votre absence, Il est indispensable d'adopter quelques consignes de précautions pour un bon usage.

Les mots de passe notamment sont inontournables. Ce sont les clés de vos espaces, ils doivent être choisi avec discernement et en toute responsabilité.

Lire l'article : http://www.macgeneration.com/news/voir/247562/mots-de-passe-rappel-de-quelques-conseils

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 13:58

En psychologie expérimentale, le temps de réponse est le temps mesuré entre la présentation d'un stimulus et l'enregistrement d'une réponse.

 

Pour une entreprise, si l'on considère une demande de renseignement, d'information ou d'un devis, venant  d'un client ou d'un prospect, comme un stimulus, le temps de réponse de l'entreprise est-il un enjeu important ? En interne, dans quel délai raisonnable une demande ou une idée d'un collaborateur doit-elle être renseignée ? 

 

Nous pouvons, bien sûr, considérer que l'urgence n'est pas une nécessité et que le gain de quelques heures sur une prise de décision ou le lancement d’une action n’est pas prépondérant. Que le surcoût éventuel d’un traitement rapide de l’information peut nuire à la marge. Que le client n’est pas pressé au point de remettre en causes les procédures pour « grappiller » quelques heures voire quelques jours.  

Je vous citerais néanmoins une anecdote. Une voiture dont le frein n’était vraisemblablement pas bien serré, vient endommager le portail d’un pavillon. Nous sommes en septembre 2011, un constat est effectué et transmis aux assurances respectives. La procédure fait que les assureurs ont 1 mois pour répondre, le premier rendez-vous sur les lieux pour constater les dégâts est donc fixé le 12 Octobre, le 24 pour l’expertise contradictoire. Les 2 experts étant tout à fait d’accord pour procéder au remplacement du portail, les demandes de devis sont lancées. Une entreprise sur 6 sollicitées donne suite à la demande de devis malgré la certitude d’être payé par les assurances. Le 23/11 l’acompte est versé, la commande peut partir. Les vacances de Noël arrivent, au final, le rendez-vous d’installation est pris pour le 24 février 2012. Pratiquement 6 mois entre l’incident et la réparation. Il est vrai que dans cette histoire la notion d’urgence est surement secondaire, mais la satisfaction du client n’aurait-elle pas gagnée dans un traitement plus rapide ??

 

Devons-nous rappeler les exemples des Vachet, Mermoz, Guillaumet,  Reine, St Exupéry et tous les aventuriers de l’aéropostale, qui au risque de leur vie, pour des sacs de courrier, se sont battus pour raccourcir sans cesse les temps de liaisons entre de nombreux points de la terre.   

Devons-nous garder à l’esprit les Loïck Peyron, Franck Cammas, Bruno Peyron, Steve Fossett, Olivier de Kersauson, qui ont fait passer de 71 jours à 45 jours le tour du monde d’Ouest en Est avec équipage, en quinze ans. Ou encore les Alain Colas, Philippe Monnet, Olivier de Kersauson, Francis Joyon, Ellen MacArthur qui ont sur des parcours équivalents, en solitaire sur multicoque réduit de 169 jours à 57 jours dans le même délai.

 

La qualité de service passe-t-elle par le délai de réponse ?
La compétitivité est-elle liée à la réactivité ?

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14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 09:42

 

Le matériel informatique est devenu un outil indispensable au bon fonctionnement et à la productivité d’une entreprise. Mais si les besoins en matériel ne cessent d’augmenter, leur durée de vie diminue de plus en plus : en 1997, un ordinateur avait une durée d’utilisation moyenne de 6 ans ; en 2008, elle n’était plus que de 3 ans. L’obsolescence du matériel informatique est aujourd’hui une réalité à prendre en compte, notamment pour les PME.

 

Les ordinateurs sont de plus en plus puissants et rapides. Les logiciels utilisés sont également toujours plus performants. Les versions les plus récentes demandent plus de ressources (mémoire vive, espace disque, carte graphique) pour effectuer une tâche similaire mais souvent avec plus de données à analyser... Les supports eux-mêmes changent : plus personne n’utilise de disquettes, qui ont disparu au profit d’autres appareils de stockage (tels que les clefs USB ou les CD ou les espaces en ligne). Nous devons donc nous adapter en permanence à ces outils indispensables à la productivité d’une entreprise. Comment une PME pourrait-elle rester compétitive si elle utilise des logiciels obsolètes ou des outils incompatibles avec ceux qu’utilisent ses clients ? 

 

Une étude IFOP de 2008 a montré qu’au sein des PME, 62% des achats liés à l’informatique étaient motivés par l’obsolescence du matériel. Et pourtant, les PME sont encore frileuses à l’idée d’investir dans du nouveau matériel, et tout particulièrement dans les dernières versions des logiciels. Mais quels sont les freins qui empêchent les entreprises de mettre leurs logiciels à jour ? Au-delà du prix, c’est principalement la peur qui les arrêtent : la peur du bug, de pertes de données, du logiciel qui ne fonctionne pas, du temps qu’il faudra consacrer à se former… Et pourtant, utiliser du matériel performant est source de confort et d'efficacité. Imaginez un peu que vous rouliez plus de 50 000km par an : il ne vous viendrait même pas à l’idée d’utiliser une voiture mal entretenue, qui risquerait de tomber en panne et de vous faire perdre en sécurité ! 

En matière de logiciel, il en va de même : trop attendre pour remplacer ou mettre à jour le matériel informatique et les temps de réponse s’allongent, les problèmes de compatibilité augmentent, entraînant une baisse réelle de la performance. Le temps passé à se former et à se familiariser à un nouveau logiciel est généralement rapidement amorti, grâce à l’efficacité et à la rapidité gagnées dans son utilisation quotidienne.

 

Travailler sur du matériel à jour est une mesure favorable à l’amélioration des performances. Une amélioration qui se ressent bien sûr sur la productivité (car utiliser du matériel de pointe permet de gagner en efficacité) mais également sur la gestion des compétences humaines. En effet, des équipes contraintes de travailler avec du matériel dépassé se sentent rapidement frustrées ; à l’inverse, leur permettre d’utiliser du matériel performant est une véritable source de motivation !

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18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 09:02

Une solution est dite horizontale, lorsqu’elle couvre les fonctions génériques de l’entreprise, alors que nous parlerons de verticalisation lorsqu’elle maîtrise les subtilités métiers.

 

Une solution verticale s’implémentera et se paramétra plus rapidement. Son ROI (Retour sur Investissement) sera plus court en grande partie dû au fait d’un investissement plus léger et d’un temps d’implémentation bien moins long. La profondeur des fonctionnalités métiers apportera plus de discernement dans la réduction des coûts. La prise en main de l’outil et son adoption seront facilitées par la complicité de langage des interlocuteurs de l’entreprise et de l’éditeur.

 

Les fonctions  transversales de l’organisation (Administration, Comptabilité/finances, Ressources Humaines…) se soumettent facilement aux outils informatiques de gestion généralistes. Mais les usages d’une entreprise de service peuvent s’écarter sensiblement de ceux d’une entreprise de métallurgie. La performance des outils verticaux s’exprimera alors pleinement dans la manière de restituer le plus fidèlement possible les exigences métiers de l’entreprise. Plus le métier sera assimilé, plus les indicateurs seront performants.

La GPAO Clipper est une solution verticale native. Le cœur de métier de Clip Industrie c’est l’industrie, l’informatique n’est que le moyen. Son expertise s’exprime dans la production industrielle et se régénère continuellement à travers un échange permanent  avec ses entreprises clientes depuis 25 ans. Tous les collaborateurs de Clip Industrie sont issus de l’industrie. Ses équipes ont acquis une grande compétence au fil des installations. Elles conseillent les clients et recherchent toujours une efficacité maximum, dans la mesure du possible sans développement complémentaire inutile.

Si les besoins stricts de gestion sont quasiment identiques d’une entreprise à l’autre, et ce, quelle que soit sa taille, l’outil à mettre en place pour analyser, surveiller, corriger et fiabiliser son fonctionnement réclamera vraisemblablement des ressources proportionnelles. Le marché des grands comptes est dominé par les grands acteurs de l’ERP et les principales sources d’informations abondamment alimentées par ces mêmes éditeurs. 

On y aborde rarement, le temps de mise en œuvre, le nombre de personnes à impliquer dans le projet et enfin le délai avant d’en mesurer les effets, car les moyens sont en accord avec l’investissement. Bien évaluer sa stratégie est un préalable capital au choix de son éditeur ERP. Concentrés sur les fonctions spécialisées dans la production, les logiciels métiers tel la GPAO Clipper offrent une alternative tout à fait pertinente et concurrentielle pour les PMI ou les « Business unit » des grands donneurs d’ordre (Michelin, ATR, Armée de l’air, Onera…), pragmatiques. 

Le marché de Clip Industrie est essentiellement concentré sur la TPE et la PME industrielle (5 à 250 salariés). Cette typologie exige des solutions livrées et installées plus rapidement et à un coût moindre, la gamme Clipper en est la parfaite illustration. 

 

L'Œil Expert, Janvier 201

 

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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 16:42

Une enquête Ipsos de janvier 2011 sur la stratégie française des entrepreneurs français a montré que 82% d’entre eux n’ont jamais entendu parler de cloud computing et que seuls 5% voient bien de quoi il s’agit. Et pourtant, ils sont 52% à utiliser une solution de service ou de logiciel partagé…

 

Le cloud computing (ou « informatique en nuage ») consiste à stocker ou déplacer des données, normalement localisées sur un poste utilisateur ou un serveur local, vers un serveur distant. Un grand nombre de sociétés spécialisées dans la gestion des données fournissent aujourd’hui aux entreprises de l’espace de stockage : HP, Microsoft, Oracle, IBM, Google…

Depuis 2009, les TPE-PME font de plus en plus appel à ces nouveaux acteurs. En effet, le cloud computing semble apporter des solutions particulièrement adaptées aux entreprises de petite taille. En effet, externaliser le stockage des données permet d’optimiser les coûts informatiques et de faire des économies : plus besoin d’investissement ni d’achat ou de renouvellement de logiciels. Le cloud étant « élastique », il permet à l’entreprise de supporter une augmentation, même temporaire, de la charge des données. De plus, utiliser le cloud computing est source de fiabilité, car la multiplication des systèmes permet de prévenir et de traiter rapidement les pannes. Enfin, le cloud computing facilite le travail collaboratif et permet d’offrir à l’entreprise une plus grande efficacité : n’importe quel collaborateur peut, dès lors qu’il a une connexion Internet, accéder à ses données professionnelles et les partager avec son équipe. Une solution particulièrement utile dans un contexte où la réactivité est l’une des clefs de la performance.

Et pourtant, le cloud computing ne séduit pas encore toutes les entreprises, notamment les plus grandes, freinées par certains aspects particulièrement gênants de ce mode de gestion des données. Avant de décider de confier le stockage de ses données à un prestataire externe, il est important de réfléchir aux inconvénients d’une telle solution.

Sans accès Internet, pas d’accès aux données. En cas de panne du réseau, il devient alors impossible d’accéder à la moindre donnée stockée. Et il est également nécessaire d’avoir un certain débit de connexion pour utiliser le cloud. Utiliser cette solution de stockage des données n’est donc pas recommandé dans une zone mal couverte par le réseau Internet ou avec un débit faible. 

L’autre grande question qui se pose en matière de cloud est celle de la sécurisation des données : dès lors que l’entreprise doit être connectée à Internet pour accéder à ses données, se pose le problème de la sécurité entre le client et le serveur. Les risques d’intrusion ou de piratage des données doivent être anticipés et évités, et la confidentialité des données peut être mise en cause. Sans parler de la sécurisation du stockage même : les données sont-elles stockées dans un ou plusieurs centres ? Dans une ou plusieurs unités de stockage ? Les locaux sont-ils sécurisés ? L’entreprise faisant appel à un fournisseur d’espace de stockage n’a pas la garantie que la sécurisation des données est absolue et sans faille.

L’économie réalisée n’est pas non plus une certitude : si les frais de stockage sont généralement avantageux pour l’entreprise, il faut toutefois faire attention aux frais de transfert, qui peuvent parfois être particulièrement élevés.

Enfin, en ayant recours au cloud computing, les données ne sont pas forcément stockées sur le territoire national, selon le prestataire de services qui a été choisi par l’entreprise. Or, la loi impose, pour certaines activités, d’être capable de localiser et d’accéder très rapidement aux données. 

Le cloud computing est une solution qui séduit de plus en plus de PME. Et pourtant, il est important d’être particulièrement vigilant au moment de choisir d’utiliser ou non le cloud computing pour stocker les données d’une entreprise : une telle décision peut avoir des conséquences sur la gestion future de l’entreprise et doit être mûrement réfléchie.

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